Clay Jensen reçoit sept cassettes enregistrées par Hannah Baker avant qu’elle se suicide. Elle y parle de treize personnes qui ont, de près ou de loin, influé sur son geste. Et Clay en fait partie. D’abord effrayé, il écoute la jeune fille en se promenant au son de sa voix dans la ville endormie. Puis, il découvre une Hannah inattendue qui lui dit à l’oreille que la vie est dans les détails. Une phrase, un sourire, une méchanceté ou un baiser et tout peut basculer.
Hannah a mis fin à ses jours. L’histoire commence sur cet état de fait.
Clay trouve devant sa porte un paquet anonyme. Ce paquet contient sept cassettes. Ces cassettes ont été enregistrées par Hannah. Elle y explique ces petites choses, ces détails insignifiants pris un par un, mais qui mis bout à bout, l’on conduite à cette décision irréversible. Treize personnes sont concernées. Chacune a joué un rôle, parfois insignifiant, parfois important, dans l’histoire de Hannah. Chacune de ces tranches de vie ont contribué au décès de Hannah. Treize personnes. A chacune une face de cassette. A chaque face, une histoire… A chacun de passer le paquet au suivant, selon l’ordre des cassettes.
Hannah explique son geste. Elle explique le cheminement de ses sentiments, de ses ressentis, son vécu et sa façon de percevoir les choses. Un suicide peut être une conséquence de beaucoup de choses. Pour Hannah, son lycée est un microcosme qu’elle subit au quotidien, un univers sali et perverti par la bêtise et la méchanceté de ceux qu’elle côtoie.
Un récit empreint de beaucoup d’émotions et de sensibilité.
Nota: Ne pas se baser sur la série diffusée sur Netflix, qui bien que construite sur ce roman, comporte des différences non négligeables.